Les échanges cryptographiques jouent un rôle important dans l’industrie. C’est l’endroit où les investisseurs peuvent acheter des bitcoins, et bien sûr une grande variété d’autres crypto-monnaies. Cependant, la recherche montre que les échanges non réglementés tentent d’induire les consommateurs en erreur avec commerce de lavage.
Enquêter sur le trading de lavage de crypto sur les échanges
Le Bureau national de la recherche économique (NBER) a récemment publié une étude sur le commerce fictif sur les bourses non réglementées. Ce sont des échanges qui n’ont pas de licence pour opérer. Le NBER a examiné 29 de ces bourses, dont Binance, et a conclu que le wash trading est très courant sur certaines de ces plateformes de trading.
Le commerce de lavage est l’achat et la vente de crypto par la même partie. Dans ce cas, il pourrait s’agir d’un échange qui se vend de l’ethereum (ETH) et continue de le faire. Cela rend le volume des transactions extrêmement élevé.
La recherche montre que sur les bourses de niveau 1, qui sont des bourses plus importantes, 70% du volume provient du commerce de lavage. Avec les échanges de niveau 2, plus petits, cela peut atteindre 80 %. On ne sait pas exactement quelle est la situation chez Binance.
Une mise en garde importante doit être faite. Les données recherchées couvrent les transactions du dernier semestre de 2019. C’était il y a quelque temps.
Pourquoi les échanges de bitcoins font-ils cela ?
Cela peut sembler une activité folle. Cependant, il est important que les bourses rendent leur plateforme aussi attrayante que possible. Le commerce de lavage peut donner l’impression qu’il y a plus de liquidités sur la plate-forme, ce qui à son tour attire plus de personnes à utiliser la plate-forme.
En outre, cela peut également garantir qu’une plate-forme bénéficie d’une plus grande visibilité. Un volume plus élevé signifie qu’ils se retrouvent plus haut dans des classements tels que celui de CoinMarketCap. Il peut donc être intéressant de booster un peu les chiffres.
Le commerce de lavage est également illégal. Les chercheurs concluent donc qu’aucune transaction fictive n’a lieu sur les bourses réglementées.
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